Panico * Si c'est comme ça que ça se dit en Italien *

On se lève à 6h30 du matin pour prendre l'autobus et se rendre à Naple. Le voyage a duré 2h30 alors qu'il était sensé en durer 4. J'ai bien aimé cette partie de la journée puisque nous avons pu nous reposer en tombant tous dans les bras de morphée une fois décollés. Rendu à Naple, nous avons eu droit à une petite visite guidée de la ville. J'ai plus ou moins aimé cette partie parce qu'il a fallu descendre de l'autobus. Moi qui croyait que nous serions à l'air climatisé toute la journée...je m'étais habiller en conséquences. Le petit hic...c'est qu'à Naple il faisait plus humide que tout.

Nous sommes enfin arrivé à l'hôtel nouvel hôtel qui avait l'air d'être superbe, mais qui se trouvait en altitude. Vous savez, je crois que l'altitude ne me va vraiment pas. J'ai découvert que je ne supportais pas les hauteurs. Alors évidemment tout le long du trajet j'étais accompagné de maux de tête et de ventre qui persistait à me donner des coups. Bref! L'hôtel était vraiment quelque chose!

Je n'allais pas très très bien lorsque nous sommes entrés à la réception pour attendre d'avoir la clée de nos chambre. Enfin en possession de cette dernière les filles de ma chambre et moi décidons de prendre l'ascenseur. Voyez-vous...au dernier hôtel l'ascenseur était minuscule et faisait un bruit inferrnale. Je n'avais dons jamais voulu l'utiliser à l'exception de quelques cas. Bref, nous avons décidés de la prendre plutot que de se faire suer à monter les marches avec nos valises.

Nous nous rendons donc au deuxième étage ou se trouve notre chambre. Soudain...plus de lumière...le noir total. Nous étions prises! Juliane et Catherine crièrent. Je leur ai dis de se calmer...une, deux, trois seconde. je me met à hurler ''AU SECOUR!!!''. Voila une de mes plus grande peur qui était en train de me péter dans la face (comme on dit). Catherine et moi commencions vraiment à paniquer, mais Juliane a su garder son calme. Elle a sorti sa caméra numérique et nous a éclairer un peu avec cette lueur.

Les garçons nous on entendu et ne se gênait pas pour effrayer davantage. Alors je me suis misent à pleurer avec Catherine. Très difficile de pleurer et de rire en même temps. Seulement...la seule chose à quoi je pensais c'était à la foutu bouche d'aération qui était absente. Ce qui me fit paniquer de plus belle et me mena au bord de la crise d'hyperventilation. Il commençait vraiment à faire chaud. Nous étions collé l'une à l,autre tellement il n'y avait pas d'espace.

Finalement...on nous fit descendre et c'est à ce moment là que j'ai vu à quoi je ressemblais. On aurait dit que j'étais morte. Blanche comme un drap, les yeux rougit par les larmes et la panique, je n'étais pas du tout en disposition de séduire quiconque sur mon passage. Mais ce que je me sentais nulle...pourquoi n'étais-je pas capable d'être normal. Pourquoi fallait-il que j'hyperventile. Ce n'est vraiment juste à moi qu'arrive ce genre de choses!