Cette envie d'écrire qui vous prend.

Je préfère avertir le blogueur : Il se peut que dans ce poste les sujets passent du coq à l'âne.

Habituellement, ça va par vague. Un jour on se réveille et on se dit : ''JE VEUX ÉCRIRE''. Alors, c'est ce qu'on fait. J'adoooooore écrire, tapper sur le clavier mes états d'âmes, mes peurs, mes envies etc. J'aime partager des trucs. Le blog est un bon moyen d'y parvenir.

Ahhhhhh ce que je suis heureuse. Ça doit pas paraître parce que je suis toujours terrée chez nous à lire, tourner en rond, écouter des films, faire des tours de char...bref, ça doit pas paraître parce que je suis souvent seule. Mais détrompez-vous. Je ne me sens pas seule, sola, tantum, alone (Ici, je tiens à remercier Google Traduction pour l'utilisation des mots en italien et latin). Je n'ai plus peur d'être seule parce que je suis pleine. Je le ressend jusque dans mon appétit qui à considérablement baissée ( le problème c'est que la gourmandise, elle, ne m'a toujours pas quittée). La plénitude. C'était pour moi un mythe. J'espère que je n'use pas de prétention quand j'affirme l'avoir trouvé ou du moins en faire l'expérience. Je crois que ça peut être à la base du bonheur. En tout cas, pour ma personne ça l'est.

Une boule de bien-être à presque tous les matins prend sa place au creux de mon ventre. Ce qui ne m'est jamais arrivé par le passé.

Étrangement...j'ai pas envie de commencer l'école. Je vais pas me le cacher. J'en ai pas envie. En fait, c'est pas que j'en ai pas envie, mais c'est plus que ça me laisse indifférente. Et je vis très bien avec ça. J'ai pas honte de le dire, même si je devrais peut-être ? J'ai pas peur. Je me sens forte comparé à d'habitude ou j'aurais été morte de terreur. Peut-être que c'est juste une illusion et que les couleurs de cette illusions vont déteindrent quand je recevrai le fameu verre d'eau au visage. Tout ce que je peux me dire c'est : ''On verra bien !''

Je sais très bien pourquoi je me sens comme ça. C'est parce que je vis le moment présent. Je suis incapable de me projetter dans l'avenir. J'ai perdu cette capacité avec l'avenue de l'été. Avec le refus de Québec, avec ma semaine passée à Québec finalement. Je ne peux pas dire pourquoi. Je sais juste que c'est arrivé comme ça, sans que je ne me rendre compte. Pour vous donner un exemple, je peux vous dire que je sais que dans deux semaines, j'arrête de travailler au métro plus, qu'il faut que je déménage mes affaires pour l'appartement avant mon départ pour la Gaspésie et qu'après je commence l'école.

Je suis maintenant incapable de vous dire ou je me retrouverai dans 10 ans comme je le faisais avant.

Tout ce que je sais, c'est qu'il est 23 h 17 et que je dois aller me coucher.

Bonne nuit les chéris !